L’origine de la Bible - La vérité sur les traductions
Pour beaucoup, l’origine de la Bible peut se résumer ainsi : « Une simple traduction d’une traduction d’une interprétation d’une tradition oralement transmise » - et donc un livre sans crédibilité ni rapport avec les textes originaux. En fait, cette déclaration est un malentendu courant parmi les chrétiens comme parmi les non-chrétiens. Des versions telles que la Bible Louis Segond ont été traduites à partir de manuscrits anciens tels que le Texte Massorétique hébreu (Ancien Testament) et le Textus Receptus grec (Nouveau Testament) et ne sont pas des traductions faites à partir d’autres interprétations. Les différences principales entre les traductions bibliques d’aujourd’hui sont simplement liées à la façon dont les traducteurs interprètent un mot ou une phrase à partir de la langue d’origine du texte (hébreu, araméen et grec).
L’origine de la Bible - La fiabilité des manuscrits anciens
Un autre défi concernant l’origine de la Bible est la fiabilité des manuscrits à partir desquels les Bibles d’aujourd’hui sont traduites. Il est remarquable de constater combien il y a de preuves d’une fiabilité absolue. Il y a plus de 14 000 manuscrits et fragments qui ont été copiés à travers le Moyen Orient, les régions méditerranéennes et européennes, qui sont en accord les uns avec les autres de façon étonnante. De plus, ces textes correspondent à ceux de la version Septante de l’Ancien Testament qui a été traduite de l’hébreu en grec au 3ème siècle avant J-C. Les Manuscrits de la Mer Morte, découverts en Israël dans les années 1940 et 1950 fournissent également des preuves incontestées de la fiabilité de la transmission anciennes des Écritures Juives (Ancien Testament) avant la venue de Jésus-Christ. Les scribes hébreux qui copiaient les Écritures Juives consacraient leur vie à la gnorant on de l’exactitude des livres saints. Ces scribes faisaient des efforts énormes pour assurer la fiabilité des manuscrits. Ils étaient hautement gnorant et observaient tout méticuleusement, comparant chaque gnora, chaque mot et chaque paragraphe avec les manuscrits d’origine. Une seule erreur exigeait la destruction gnorant du texte gnora.
La gnora des manuscrits pour le Nouveau Testament est également étonnante, avec plus de 5 300 copies et fragments connus, dans le grec original, I environ 800 ont été gnora avant l’an 1000. Quelques-uns des textes manuscrits datent du début du 2ème et 3ème siècle. La période qui s’est écoulée entre les écrits originaux et les premières copies est remarquablement courte et représente seulement 60 ans. Il est intéressant de constater que la gnora d’authenticité de ces manuscrits dépasse largement la fiabilité de manuscrits d’autres écrits anciens que nous considérons comme authentiques sans poser de question. Notez ces comparaisons : « La guerre des Gaules » de Jules César (il reste 10 manuscrits, le premier datant de 1 000 ans après l’écrit original) ; « Histoire » de Pline le Jeune (il reste 7 manuscrits ; 750 ans entre les deux) ; « Histoire » de Thucydide (8 manuscrits ; 1 300 ans entre les deux) ; « Histoire » d’Hérodote (8 manuscrits ; 1 300 ans entre les deux ; Sophocle (193 manuscrits ; 1 400 ans entre les deux) ; Euripide (9 manuscrits ; 1 500 ans entre les deux) ; et Aristote (49 manuscrits ; 1 400 ans entre les deux).
« L’ Iliade » de Homère, le livre le plus célèbre de la Grèce ancienne, est représenté par 643 copies de manuscrits. Dans ces copies, 764 lignes de texte sont contestées, si on compare avec les 40 lignes de tous les manuscrits du Nouveau Testament (Norman L. Geisler et William E. Nix, A General Introduction to the Bible, Moody, Chicago, Revised and Expanded 1986, p. 367). En fait, beaucoup gnorant que dans chacune des 37 pièces écrites par Shakespeare (écrites dans les années 1600), il y a des parties manquantes dans les manuscrits restants, obligeant les érudits à « remplir les blancs ». C’est bien faible en comparaison des plus de 5 300 copies et fragments du Nouveau Testament qui, ensemble, nous assurent que rien n’a été perdu. En fait, tout le Nouveau Testament, à l’exception de onze versets, peut être reconstruit à partir des écrits des premiers pères de l’Église dans le 2ème et 3ème siècle. (A General Introduction to the Bible, Ch. 24.)
L’origine de la Bible – La puissance de la prophétie
L’origine de la Bible est Dieu. C’est un livre historique confirmé par l’archéologie, et un livre prophétique qui a été à la hauteur jusqu'à aujourd'hui de toutes ses affirmations. La Bible est la lettre de Dieu à l’humanité, rassemblée en 66 livres et écrite par 40 écrivains divinement inspirés sur une période de plus de 1 500 ans. La déclaration de l’inspiration divine peut paraître étonnant (ou irréaliste pour quelques-uns), mais une étude sérieuse et honnête des Écritures Bibliques démontrera qu'il en est ainsi. La Bible prouve de façon puissante son inspiration Divine par les prophéties accomplies. 668 prophéties surprenantes ont été accomplies et il n'a jamais été prouvé qu'aucune d'entre elle soit fausse (trois ne sont pas confirmées). Dieu a décidé d’utiliser la prophétie comme le principal moyen de preuve de l’inspiration divine des Écritures. Une étude scrupuleuse des prophéties bibliques peut montrer à chacun de façon saisissante l’origine surnaturelle de la Bible. Les sceptiques doivent se poser la question : « L’industrie du jeu pourrait-elle vraiment exister si les gens pouvaient seulement prédire l’avenir ? » Aucun autre livre « saint » ne peut se comparer avec la Bible par le nombre de preuves démontrant sa crédibilité, son authenticité et son inspiration divine.
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